☺ Dragibus ☺ Habitué
Messages : 151 Date d'inscription : 14/03/2010 Age : 30
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| Sujet: Dragi veux ses courts aussi !! =D Mer 17 Mar - 21:42 | |
| Votre Pseudo: Dragibus ! Depuis quand écrivez-vous? eum...1an. Montrez un texte dont vous êtes fier/fière: - Spoiler:
Boule d'Echos est née d'une mère solitaire et d'un père faisant partit du clan de l'ombre. Il avait tout pour être heureux, 3 frères : Boule de Patte, Petit Damier et Patte Pelucheuse ainsi qu'une soeur, sa soeur jumelle, sa moitié, Petite Noisette, ils se ressemblaient comme deux goûtes d'eau, mais pourtant une seule chose par leur cencure permettait de les différencier : Petite Noisette, avait une minuscule tâche marron sur son oeil droit, c'est cette tâche qui lui à donner son nom. Boule d'Echos et sa soeur était extrêmement proche l'un de l'autre, ils passaient des journées à observer la nature, jouer, chasser, courir.. un lien très fort les unissait. Ce bonheur n'aura malheureusement durée que 10 mois...
A l'aube de leurs 10 mois Oeil de Démon, leur père est arrivé, fier imposant, comme à son habitude, il joua quelques instants avec ses enfants puis s'éclipsa et alla parlait à leur mère. Les cinq chatons jouèrent ensemble, pendant un moment, puis lassé et fatigué ils allèrent rejoindre leur mère pour se réchauffer contre son coeur si chaud, si doux. Les chatons épuisés marchèrent en silence ils arrivèrent devant le terrier qui leurs servaient de maison, mais stoppèrent net devant l'entrée, les voies de leurs parents montées dans le crépuscule :
-" Non jamais, jamais je ne te laisserais jamais les emmener, ils vivront en solitaires libre, ou bien ils choisiront leur destin, mais tu n'as aucun droit de décider à leur place, ils choisiront !"
-" Il est hors de question que mes enfants restent ici, ils ne deviendront jamais des chats si personne ne leur enseigne, ils vont venir au camp un point c'est tout !"
-" Non, tu n'as pas le droit de les emmener, je les empêcherais de te suivre, ils m'écouteront moi, je suis leur mère et toi tu es peut-être leur père mais, tu n'es jamais présent, à part lorsque cela te passe par la tête. Non jamais ils ne partiront, je t'en empêcherais."
-" Hahaha...tu crois, toi qui es si frêle, si fragile, sans aucun entrainement, tu crois réellement que tu pourras m'empêcher de prendre mes enfants..laisse-moi rire !"
-" Tu ne sais pas de quoi je suis capable.."
-" Et bien montre moi.."
Un miaulement de colère déchira les cieux, les petits apeurés se plaquèrent au sol, immobile, incapable de faire quoi que ce soit. Des feuler, des cris de douleur et rage montèrent encore du terrier, puis....plus rien. Un lourd silence s'abattit sur la forêt..:
-" Je t'avais prévenu que tu ne ferais pas le poids... tu n'es rien dans ce monde, à pars une vermine bonne à nourrir les vers.. Jamais tu n'aurais pu me battre, tu m'as défier, maintenant tu la payée de ta vie..." [i] La silhouette massive d'Oeil du Démon sortit, et ses yeux rouges éclairèrent les ténèbres. Les chatons jusqu'à là immobile se levèrent, Petit damier qui était l'ainé ce redressa de toute sa hauteur et se planta devant son père, il paraissait si frêle, bien qu'il soit le plus grand et le plus fort des cinq à côté de son père :
- " Où est notre mère ?"
Un sourire en coin se désigna sur le visage du chat noir, il leva les yeux et les planta dans ceux de son fils :
-" Elle est morte... et vous feriez mieux de me suivre si vous ne voulez pas mourir dans cette forêt seul dévorer par un animal ou mort de faim, de soif qui sait, ou bien pourquoi pas...dans les mêmes conditions que cette chiffe molle "
D'un mouvement furtif, il montra le terrier ou gisait le coeur de leur mère. Petit Damier répliqua :
-" Ce n'était pas une traîné, elle nous à toujours offert ce qu'il y avait de mieux pour nous et nous lui en sommes reconnaissant, aujourd'hui elle est morte, tuer par celui qu'elle à un jour aimer et qui la trahie. Elle ne voulait pas que l'on t'accompagne et bien nous ne le feront pas."
Et il tourna les talons. Œil de Démon le regarda et rigola, Petit Damier se retourna et le regarda :
-" Qu'a tu as rire sale lâche "
Une lueur de pure méchanceté enflamma les yeux du félin noir qui bondit et plaqua le jeune chat au sol. Il feula :
-" Tu oses me traiter de lâche, espèce de créature sans défense, tu es pittoresques j'en pleurerais même, mais je n'ai pas le temps pour ça, tu as deux choix et pas un seul de plus : sois tu me suis, sois tu meurs..."
Pour toute réponse le chaton poussa de toute ses forces avec ses pattes arrière sur le ventre de son père, Oeil du Démon qui n'était pas préparé à ça fut projeté au sol. Petit Damier se leva, et lui fit fasse :
-" Jamais je ne suivrais quelqu'un comme toi...je préfère mourir..."
-" Et bien si tel est ton désir ! feula le chat noir
Œil du Démon bondit sur le félin blanc et noir, celui-ci l'esquiva avec une certaine habilité, mais il n'était pas préparé à la réplique, Œil du Démon sauta contre l'arbre et bondit sur le félin toute griffes dehors. Les chocs fus d'une violence innée : Le frêle corps de Petit Damier fut projeter avec violence contre un If...le petit chat tâcher de noir tomba au milieu des racines, il ne bougeait plus...un fin filet de sang coula le long de sa bouche entrouverte...il vivait ses dernières minutes, le sang cessa de couler, signe que son cœur d'ange venait de s'arrêter, pour toujours. Patte d'Ombre sentit la tête de sa sœur se blottir contre son flanc, il sentit ses larmes coulés contre sa fourrure. S'en qu'il s'en soit rendus compte, des larmes coulés également le long des ses joues. Son cœur se serra : pourquoi son père faisait-il cela, lui qui avait étais si présent et doux lorsqu'il venait les voir jouer ensemble lorsqu'il n'était encore que 5 boules de poils...pourquoi maintenant il tuait sa compagne et son fils...la réponse restait muette... Boule de Patte et Patte pelucheuse se regardèrent, sans un mot ils bondirent, un à droite et l'autre à gauche avec des mouvements parfaitement coordonnés, lorsque Patte Pelucheuse frappait, Boule de Patte le faisait également. Œil du Démon était pris entre deux tornades, mais le félin noir eu vite compris, il observa Patte Pelucheuse est dés qu'il leva sa patte, le chat noir se baissa, les 2 chatons emportaient par leur élan furent surpris et se frappèrent mutuellement avec toute la rage qu'exprimait leur coups de patte. Les 2 félins se retrouvèrent étendus aux sol, inconscients, sonné, ou peut être mort.. Œil du démon les regarda et bondit sur Patte Pelucheuse qui tentait de se relever. Le chat noir sans aucune pitié mordit le coup de son fils, qui hurla...puis se tut à jamais...Œil du démon venait de tuer son 3ème fils, car Boule de patte était lui aussi mort, il avait reçus un coup de patte dans l'œil, et le sang s'écoulait en dehors de l'a cavité vide. Petite Noisette fondit en larme, son frère se serra tout contre elle, et il pleura lui aussi. Dans le silence de la nuit, les deux félins entendirent les pas de leur père se rapprocher..Ils se détachèrent et se mirent en position de combat. Œil du Démon les regarda et rigola :
-" Sa ne vous suffi pas que j'ai tuer 4 membres de votre famille..vous voulez encore vous battre ?? Vous êtes pittoresques !! "
La chatonne au pelage noir répliqua en fêlant :
-" C'est nous qui sommes pittoresques ? Tu t'es bien regardé ? Regarde autour de toi, tu viens d'assassiner ta compagne, celle qui ta aimé un jour qui ta donné des enfants, et la fierté d'être père, et cette fierté tu la jette au corbeau en tuant 3 de tes fils...tu les as tuer...tu te rends, compte, il aurait simplement fallu que tu nous demande si nous voulions venir avec toi...j'étais prête à te suivre et Patte d'Ombre aussi, mais maintenant que je vois ce dont les digne guerriers des clans sont capable de faire...jamais je ne me joindrait à eu...Rend-toi compte..tu viens de tuer ta famille...."
Le chaton noir crus voir une lueur de regret et de honte dans les yeux de son père, mais elle fue remplacé aussitôt par là haine. Le père toujours autant assoiffé de sang bondit sur sa fille. Tout 2 roulèrent ensemble un moment, en dessus, en dessous..;Patte d'Ombre bondit et poussa avec force le grand chat noir qui était maintenant au dessus de sa soeur et qui la griffait sans aucun remord, Patte d'Ombre l'envoya rouler dans la poussière à plusieurs longeurs de queue de la jeune féline toujours étendue au sol. Le chaton se précipita pour l'aidé, mais il arriva prés du corps de sa soeur et son sang se glaça..la petite féline avait le pelage maculé de sang et des lambeau de peau s'éparpié non loin d'elle. Patte d'Ombre se coucha prés d'elle prés de sa tête, et avec tendresse il lui lécha la joue, sa soeur ouvrit les yeux, elle le regarda avec tout l'amour du monde et murmura :
-" Mon frêre...je t'aime..je serais toujours là pour toi...prend ma force et sert t'en..si ton coeur te le dit..venge moi...je t'aime ...
Sa respiration était s'accadé et elle parlait à mi-voix mais elle continua :
-" Ne m'oublie pas...et je t'aiderais dès que tu aura besoin de moi...je serais toujours en toi...dans ton coeur..."
Elle toussa, un flot de sang sortit de sa bouche, elle ferma ses beau yeux remplit de tendresse et sa tête tomba au sol...elle venait de partir pour rejoindre ses encêtres et ses frêres ainsi que sa mère... Le chaton pleura..des larmes coulèrent à n'en plus finir, son coeur était déchiré, il étauit seul... Il leva les yeux vers le ciel noir d'encre et hurla :
-" POURQUOI......"
L'echos de la forêt lui renvoya ses paroles, dans l'ombre de la nuit, le chaton écouta ses paroles qui diminuérent petit à petit..Il foura son museau dans le cou de sa soeur, d'habitude si chaud et doux, il n'était plus que froideur. Il pleura encore imcapable de se contrôler. Un ricannement vint le sortir de ses penssés, il tourna sa tête et il les distingua, 2 yeux rouges dans l'ombre de la nuit. Oeil du démon rigolait, il se leva et s'avanca au clair de lune. Les rayons bleuâtre vinrent illuminer sa fourrure, il se redressa de toute sa hauteur et toisa son fils :
-" Tu es seul désormais, mais tu as toujours le même nombre de choix : Me suivre, ou mourir..."
Le chaton noir se leva, il regarda son père, et lui dit :
-" Mon heure n'est pas venue, mais la tienne oui..."
Il bondit par dessus son père et s'engoufra dans les fourrées, il courut en cercle autour du chat noir; une nouvelle force était en lui. Il se sentait revivre et il avait la courage de battre son père, et même de le tuer...il courut à l'abris dans les fougères.. il lui parla :
-" Petit Damier avait raison tu n'es qu'un lâche.."
Ses paroles raissonèrent dans l'ombre. Le père toujours au centre cherchait de tout les côtés pour savoir dout provenait cette voix, mais il lui fut impossible de deviner ou il était il hurla : -" Montre toi éspèce de lâche et vient te battre.."
-" D'accord.." sa voix raisonna de nouveau.
Oeil du démon tourna la tête à droite, dout provenait la voix , il se prépara, mais se n'était que l'effet de l'echos. Patte d'Ombre jahit à gauche et griffa le plus qu'il pouvait le pelage du chat noir. Sous l'effet de la surprise, Oeil du démon tomba à terre. Il était fatigué aprés tout ces combats, mais il ne voulait pas l'avouer il avait sa dignitée. Le petit chat noir repetta ses attaques plusieurs fois, et à chaque attaque son père perdait un peu plus de peau et de sang. Au bout de 10 minutes, Oeil du Démon s'écroula au sol. Il tomba de fatigue. Patte d'Ombre s'approcha de lui, il le regarda, son flanc était couvert de griffure, sa fourure était arraché et ne ressemblait plus à rien, il saignait de partout, sa respiration était saccadée, son flanc se soulevait douloureusement et faiblement. Oeil du Démon le regarda, avec se regard qui lui avait valut son nom il hurla :
-" Tue moi qu'est ce que tu attends éspéce d'abrutit !"
Patte d'Ombre le regarda et lui répondit :
-" Non, je ne tuerais pas... Dans mes veines coulent certainement ton sang, mais en aucun point je ne te ressemble. Je ne te tuerais pas, mais tu moureras certe mais à petit feu, ou bien dévorée par un renard ou les vers, mais se n'est pas moi qui te turais. Adieu. "
Et il tourna les talons. Il se dirigea vers se soeur, et la pris par la peau du coups. Il la tira mais il s'arretta son père hurlait :
-" Ne me laisse pas là...je t'en supplie...mon fils..."
Patte d'Ombre se retourna, et lui répondit :
-" Je ne suis pas ton fils..jamais je ne serais le fils de quelqu'un qui tue sa famille, jamais je ne serais le fils d'un lâche comme toi !"
Et il repartit. Laissant le chat qu'il avait un jour aimé et admiré, mais maintenant c'était la pire personne qu'il connaissait. Le lendemain il instala les corps de ses frêres et de sa soeur blottit contre celui de leur mère. Il resta près d'eux toute la journée, et lorsque la lune remplaca le soleil dans les cieux, il se leva et remplit de terre leur terrier :
-" Adieu..jamais je ne vous oublirais..."
Des larmes coulèrent encore sur ses joues et il partit. Il era un moment, un jour, une semaine, un mois...il l'ignorait...Il s'arreta au bord de la rivière et lapa l'eau fraiche puis il regarda son reflet. Mais il recula comme appeuré par son propre reflet, il secoua la tête et revint se regardait. Non, il ne revait pas..il se pencha un peu plus prés pour en être certain et il sourit : Une petite tâche marron en forme de se noisette dansait dans l'oeil gauche du chat. Il sourit : Petite Noisette, elle ne l'avait pas oublier, et il ne sait pas comment l'expliquer mais il est persuadé, que cette nouvelle force qu'il avait ressentit au moment de se battre contre son père, était la force de la petite chatte. Il sourit et regarda le ciel bleu azur parcemé de petit nuage duveuteux :
-" Merci frangine.."
Puis il repartit, le coeur léger et aux anges. C'est à se moment là qu'il tomba sur une patrouille du clan de la rivière, il hésitat longement à les suivre, puis il se décida et il les accompagna jusqu'au camp. Il conta son histoire et lorsque la chef lui demanda son nom il rempodit :
-" Echos des Ombres.."
Depuis se jour il vit heureux, mais pas entièrement, sa famille lui manque, mais maintenant le clan de la rivière, c'est son nouveau chez-lui et pour rien au monde il ne le quiterait.
- Spoiler:
Le sang coulera entre mes griffes...
Delta est née au sein du clan des spartiates. Sa mère malheureusement s'est éteinte en lui donnant la vie. C'était une féline au pelage noir nuit, son poil était ras mais d'une douceur incomparable. La petite créature à héritée de sa génitrice deux rubis, scintillant de milles feu, deux joyaux à la couleur particulière virant au violet et tirant sur le pourpre. Ce fut son père qui seul qui l'éleva, avec comme aide une chatte du clan Dui. Elle devint ensuite la mère adoptive de la petite Delta. étant petite la chatte n'avait pas le caractère d'une spartiate. Elle devint une guerrière redoutable d'une agilité et d'une rapidité à couper le souffle, respecter et craint de tous.... Ce jour tragique, ce jour graver à jamais dans sa mémoire : le jour où la mort a abattue sa faux sur la personne qu'elle aimait le plus dans ce minable monde : son père.
C'était quelques jours avant ses 10 lunes. Son père et elle étaient partie pour un petit entraînement sur les terres du clan. La chatte était une apprentis au talent exceptionnel, ayant un niveau supérieur aux autres, elle faisait la fierté de son père. Les deux spartiate patrouillèrent ensuite sur les vastes terres de leur clan. Passant à travers ses bois sombres où les feuilles dégringolent avec grâce virevoltant au gré de la brise, traversant le petit court d'eau si silencieux qu'on oublierait presque qu'il était là. Seul le bruits discret des coussinets foulant la terre couverte de feuilles mortes, était audible. Ils marchaient en silence regardant droit devant eux, leurs oreilles aux aguets tournaient avec légèreté sur le sommet de leur tête. Rien ne troublait la tranquillité de ces bois. Pourtant, quelque chose n'allait pas. Elle était trop silencieuse. Aucun oiseau ne chantait, aucune souris ne grignotait des pignons, aucun mulot n'osait courir entre les racines des arbres, ce bois était trop tranquille. Cette tranquillité la rendait encore plus sinistre devant que d'ordinaire. La petite chatte frissonna. Elle ralentit et laissa passer son père . Elle lui emboîtât le pas marchant à sa suite dans un silence le plus complet.
« Crack.. » Delta s'immobilisa imité par son père. Elle tourna les oreilles en direction du bruit, puis pivota la tête. Son sang se glaça : deux prunelles jaunes la fixés avec intérêt. L'intrus était tapis dans l'ombre imobile, scrutant de ses yeux maquiabéliques les deux chats. La petite chatte était pétrifiée. Elle osait à peine bougée de peur de voir surgir l'animal. Elle se risqua à jeter un coup d'oeil à son père. Il était immobile, les poils de son échine était hérissés doublant son volume corporel, ses griffes formaient un contraste étrange avec le sol noir de la forêt et ses crocs luisaient au travers de ses mâchoires entrouverte. Ses yeux verts fixaient la bête avec haine. Le renard fit un pas dans la lumière laissant voguer les rayons du soleil sur son long museau couleur de feu. Delta était pétrifiée mais ne reculât pas. Pourtant, sa tête lui disait de courir, de s'enfuir, mais son instinct était plus fort et elle l'écoutât. Il lui disait de faire face à cette bête, de se battre et de la tuer. Elle lança de nouveau un regard furtif à son père. Le chat gris avait les oreilles plaquaient en arrière et feula, découvrant un peu plus ses crocs luisants. Les babines retroussées, les crocs luisants, l'oeil aux aguets, le renard continuait d'avancer, ne prêtant pas la moindre attention à cette nouvelle menace. Delta imitât son père, elle plaqua ses oreilles sur sa tête et découvrit ses petits crocs, aussi tranchants que trente-deux poignards. Le renard sembla hésiter un instant, mais il continua à marcher avec ce même pas robotique, avec cette même conviction, cette même haine. Lorsque l'intégralité de son corps roux fut exposé à la lumière, il se cambra, ses puissantes pattes étaient fermement encrée dans la terre. Les oreilles couchées en arrière il grogna de plus belle. Il était prêt à bondir. La chatte aux yeux violets le regarda plus attentivement. Il était presque trois fois plus grand qu'elle et deux fois plus gros que son père. Son pelage couleur de feu était luisant, reflétant à la perfection les rayons de l'astre lumineux. Sous son épais pelage, on pouvait distinguer la courbe gracieuse de ses muscles. Les deux chats ne ferait peut-être pas le poids contre un animal de cette taille et en pleine santé. Son coeur battit plus fort à cette idée. Elle agitât la tête pour chasser cette stupidité et se prépara à contré l'attaque certaine du renard. Mais le renard avait sans doute perçu son inquiétude, car il bondit à ce moment. La chatte surprise par sa rapidité ne pus rien tenter. En moins de temps qu'elle ne le pensa, elle se retrouva plaqué sur le sol boueux de la forêt. Le renard la maintenait fermement ses épaules sur le sol. Il entrouvrit la mâchoire prêt à frapper, dévoilant ainsi une rangée de petits crocs pointus. L'odeur de son allène était si répugnante que la chatte en fus surprise. Il lui était impossible de bouger, seul ses pattes arrières étaient libre. Elle laboura le ventre à découvert du renard. Surpris par son attaque la bête à la fourrure de feu lâcha un peu son emprise. S'entend le poids sur ses épaules plus léger, Delta en profitât. D'un coup d'épaule elle réussit à se libérée. Elle bondit et se retrouva à quelques pas du renard. Il bondit à son tour. Delta frappa au hasard, ses griffes tranchantes comme une épée. Un filet de sang gicla dans ses yeux. Pris de douleur elle le ferma. Le liquide lui brûla les globes occulaire empéchachant la petite chatte de voire quoi que ce soit. Elle passa rapidement une patte sur sa figure. Cette action lui permis d'ouvrir les yeux. Ses pupilles toujours en feu elle chercha le renard. Des grognements lui parvinrent sur sa gauche. Elle tourna la tête. Son père et le renard roulaient dans la boue. Delta courut et bondit. Mais elle ne calcula pas assez bien son attaque. Le renard la devança. Sa patte puissante s'abattit sur la chatte. Le coup était aussi puissant que celui de dix chats réunis. L'apprenti vola et s'écroula le long d'un tronc. Les deux coups sucéssifs la sonnèrent si fort que le regard de la chatte se voilât, le noir emplis les prunelles de la chatte qui sombra. Sa dernière vision fut l'image du renard plaquant son père au sol et sa mâchoire ouverte plongeant sur le coup découvert du chat gris.
-" Papa......."
Lorsque ses yeux se rouvrir enfin, elle était entourée de chat. Une migraine lui embrumé l'esprit laissant paraître des flash, des idées flous... Elle tenta de se rêlever mais son corps refusa. Un seul mouvement la faisait horriblement souffrir, entrainant son esprit dans un tourbillon sans fin. Elle attendit un moment que les remous de son cerveau cesse et réessaya de se lever, sans succès encore une fois. Une patte puissante se plaqua contre son flanc exerçant une pression sur son abdomen. Puis une voix résonna dans la tête de la chatte, causant un tel boucans dans son esprit, que la chatte eu beaucoup de mal à comprendre les paroles de son interlocuteur :
-" Il faut que tu te reposes Delta. Tu as reçus un sacré coup sur la caboche et ta patte est vilainement amochée."
Ses paroles provoquèrent un déclique dans la tête de la féline. Toutes ses idées redevinrent nette, se rangeant dans l'ordre chronologique et formant un film, le film de ces dernière heures. Tout défila très vite puis tout s'arrêta. Son esprit se bloqua sur cette image, la dernière qu'elle avait vu avant de sombrer dans les ténèbres. La chatte ouvrit les yeux. Elle voulait crier, hurler. Elle voulait que ce chat stupide lui fiche la paix et la laisse aller sauver son père de ce lourdaud de renard. Elle rassembla ses pattes sous elle, mais la patte du chat exerça une pression plus pertinente. Delta le regarda. Elle réussit seulement à murmurer :
-" Il faut que je le sauve.. Laisse-moi aller retrouver mon père ou je t'arrache les yeux."
Le regard ambre du matou se voilât, il baissa les yeux. Puis ses prunelles remplient de tristesse se posèrent sur la chatte :
-" Se n'est plus la peine Delta. Il la tué... Il est mort Delta..."
Se fus le coup de grâce. Ces paroles furent plus puissante qu'une bombe. La tête de la féline lui sembla si lourde. Elle la laissa tombée contre le tapis de feuille. Non...non, c'était impossible... son père ne pouvait pas être mort. C'était la seule chose que le chat noir avait trouvé pour la faire cesser de bouger. C'était impossible. Pourtant, cette vision lui revint sans cesse. Le renard penché sur son père, sa mâchoire entrouverte plongeant sur la gorge du chat...
Un liquide chaud et salé coula des yeux de la chatte. C'était la première fois qu'une telle chose lui arrivait. La petite goutte glissa le long de sa joue, suivi par un petit filet composé de goutte similaire. Le chat noir s'approcha d'elle :
-" Non, ne pleure pas, une spartiate ne pleure pas... Et il a été vengé... La patrouille qui vous as trouvé à suivis sa piste et là achever, ton père l'avait mis dans un sacré état."
Pleuré...c'était donc ça. Elle pleurait. Ses petites perles qui coulaient sur ses joues étaient donc des larmes...Elles coulaient parce que son père était mort...parce que cette espèce de renard l'avait envoyé dans les ténèbres et qu'elle n'avait pas pu se battre et parce que ce renard n'était pas mort sous ses griffes, elle n'avait pas pu le tuer....
Quelques semaines plus tard, Delta était remise de son accident. Sa patte était encore un peu engourdis. Elle avait aussi complètement, elle avait grandi, ses muscles s'étaient formés. La chatte avait aussi changée mentalement. Elle est devenue une spartiate à pars entière, rentrant dans le groupe des guerriers. C'était devenu une guerrière redoutable, craint de tous et respectée par l'ensemble du clan. Personne n'osait se mettre en travers de sa route de peur de gagner un aller dans le monde des ténèbres.
Un soir où la lune brillait de milles feu. La petite chatte montât au sommet de l'église. Elle contempla les étoiles, cherchant celle qui pouvait être son père. Une étoile filante traversa le ciel. La chatte sourit :
-" Merci papa. Je te vengerais... j'en fais le serment, ne t'en fais pas... le sang coulera entre mes griffes, souillera la terre, laissant à jamais une marque indélébile sur ce minable monde..."
- Spoiler:
Cette nuit.
Cette nuit aurait pu être la plus belle, la plus magique, la plus merveilleuse....et pourtant. Dans le noir ton ombre bougea et tu apparus enfin dans la lumière jaunâtre. Sinistre. Un frisson m'échappa et vivement tu m'enlaças. Tu me plaquas contre ton corps et tu me serras de toute tes forces. Tendrement tu effleuras ma joue, tu jouas avec une méche de mes cheveux l'entortillant autour de ton doigt. Tu m'embrassas le front. Mes yeux se levèrent vers toi et dès que ton regard croisa le mien, un sourir illumina ton visage. Heureuse je posa ma tête contre ton torse, priant pour que ce moment de bonheur ne s'arrete jamais. Mais mes prières restèrent sourde. Malgrè elle, malgrè mon attente et mon espoir tu me repoussas. Je leva les yeux suprise, cherchant une réponse dans ton regard qui m'orifia. Remplient d'inquiétude et de peur tes yeux me fixaient. Debout devant moi, tu reculas. A chacun de tes pas mon ceour battit plus vite.Ta voix l'ordinaire mélodieuse finit de déchirée mon coeur. Tu me dis que tu en aimais une autre et que ton coeur lui appartenait déjà, tu me supplias de t'oublier, tu me prias de ne pas souffrir...pourtant le mal était déjà fait et tu en étais l'origine. Des larmes embuèrent mes yeux et lorsque tu te retournas elles glissèrent le long de mes joues. Dans la lumière jaunâtre de ce lampadaire tu es partis en me laissant, tu m'oublias. Le coeur brisé je m'assis le dos contre le poteaux métallique. Déchirée j'enlassa mes jambes avec mes bras et je pleura de plus belle. Cette nuit tu es partis. Cette nuit tu as brisé mes rêves et mon coeur. Cete nuit tu m'as oublié, tu m'as abondonné. Pourtant un jour..tu m'as dit " Je t'aime...;", tout n'était que menssonge et cette nuit tu l'as prouvé... End.
Auto-Critique: Ces textes j'en suis fière ( vous aurez pu le constater) Le seul Hic, je trouve, c'est qu'ils sont un peu long, et qu'ils sont BOURRES de fautes... Votre écrit le plus récent: - Spoiler:
La balancoire.
La balancoire grince, emportée par la brise glaciale. Ses allées et retour sinistre; rompent le silence imposé par ce lieu. Les branches s'aguttent, troublées par le vent qui emporte dans son sillage quelques feuilles endormies. l'herbe ondule dans le champs, comme la mer les jours de grand vent Immobile dans ce lieu, une perle grise orne ton oeil, comme la rosé, sur une rose le matin. Cette perle glisse le lonf de ta joue. Larme solitaire allourdie par le chagrin qui entrave ton coeur. La larme touche le sol tombe à terre, comme un soldat térrassé par une balle. Et la balancoire grince. End.
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